« Lorsque j'ai coché Strasbourg pour ma mutation, rien ne s'annonçait très différent de ce que j'avais connu à Paris : Le quotidien de la PJ, ses délits, ses victimes, ma vie personnelle en vrac... La routine. Mais à mon arrivée en Alsace, je fus chargé d'un dossier délaissé et plus compliqué qu'il n'y paraissait : dix chefs d'entreprise suicidés en huit mois. Une série noire qui aurait pu passer pour une malédiction économique, si mon équipe et moi-même n'avions pas écarté rapidement l'hypothèse du désespoir contagieux des décideurs en temps de crise. » Ethan Antoniotti, commissaire divisionnaire.